La voix du terroriste

Trois terroristes cagoulés prennent en otage les fidèles d’une synagogue parisienne un jour de Kippour et demandent la libération de prisonniers palestiniens détenus en Israël : L’un des cagoulés, un géant, reconnaît Ludovic Lévy et lui dit qu’il est libre de partir. Ludovic, étonné, ne reconnaît pas la voix du terroriste. Peu après, l’un des cagoulés est abattu par une balle tirée de l’extérieur. Les deux autres terroristes commettent un carnage et parviennent à s’enfuir. Ludovic cherche alors à savoir qui est celui qui lui a accordé la vie sauve, mais qui a tué son frère. Il est déterminé à le venger. Encore faut-il qu’il retrouve la trace de l’assassin. Suspense et rebondissements.

Franco-suédois né en Tunisie en 1939, Claude Kayat signe ici son dixième roman (après Mohammed Cohen, Éditions du Seuil 1981, Le Treizième disciple, Éditions de Fallois, 2002, traduits en plusieurs langues) On lui doit aussi un livret d’opéra (Jean-Joseph) et 28 pièces de théâtre dont plusieurs ont été jouées (entre autres, Le Bourreau et son apprenti, Le Café de Mme Ben Djamil, La Folie au pouvoir)