Romans

La plus belle découverte de l’Homme: l’immortalité. Suivez l’histoire de Kavanète, le scientifique grâce auquel l’humanité conquiert cette chance inouïe de vivre éternellement. Mais quels sont les véritables enjeux d’une telle découverte? Comme «1984» d’Orwell, ce livre explore la transformation de notre société lorsque ses fondamentaux vacillent.
Quel est le devenir d’un immortel ? Que devient Dieu dans cette société où le paradis n’est plus que sur terre ? Est-ce que toutes les régions du monde auront la possibilité, le désir même, d’obtenir l’immortalité ?
A travers des personnages qui sont autant de chapitres du livre, le roman questionne sur notre évolution à l’aune de l’immortalité. On suit le parcours initiatique de Glaucos le fils de Kavanète, de Méropé, la femme sans qui rien n’aurait été possible, de Grian de Miquo, l’homme de mauvais conseils. Beaucoup d’autres encore participent à cette aventure où la mort n’est plus qu’un souvenir.
Tentez avec Kavanète le pari de l’immortalité !

J.M.C est chirurgien, diplômé de recherche microchirurgicale. Il a acquis la conviction qu’un jour le génie humain découvrira la fabuleuse opportunité de l’immortalité.

D’habitude, Alysson aimait bien faire plus jeune que son âge. Ça avait ses avantages : rentrer presque partout gratuitement et pouvoir se goinfrer sans remords de McHappy. (Vous savez, ceux avec les figurines de poney à grosses têtes dedans). Par contre, être enlevée par un Croque-ami-taine pas futé, la jeune fille s’en serait bien passée.
Coincée dans le monde d’Enbas, Alysson gagne treize heures pour retrouver la surface. Pas une de plus, pas une de moins. Et si le Diable lui-même est plutôt généreux, pas sûr que ses créations préférées jouent le jeu…
« Welcome to Dessoud’lit »
Vous aussi, éteignez la lumière.

Éditrice le jour, autrice la nuit, Poppy Kowalsky se sentirait presque comme une super-héroïne (même si elle ne combat pas de vilain maquillé en clown et que sa kryptonite reste le chocolat). Grâce à la littérature jeunesse, la jeune femme revient à son premier amour : l’écriture de romans un peu comme elle – vraiment décalés, mais super sympas. Découvrez son univers horrifico-rigolo rempli de personnages hauts en couleur !

Dans le milieu de la mode, trois femmes créent leur costume singulier.
Hanna imagine le caraco original à porter sur une robe de littérature. Benny opte pour une dangereuse liberté créative en accord avec son homosexualité. Quant à Jeanne, son choix d’un justaucorps sado-maso de cuir s’avère être une tenue douloureuse à porter.
L’entrelacs des fils et des mots est souvent harmonieux, parfois discordant. Mais, peu importe, les vêtements, comme le langage, réchauffent et aident à faire face aux évènements que la vie réserve.

Après une vie professionnelle d’orthophoniste, Annick Julliard continue de cultiver sa passion pour l’écriture en signant ce nouveau titre dans lequel elle fait résonner la sensibilité de chacun de ses personnages. Son premier roman « Le porte-plume » est paru en décembre 2021.

Un procès criminel alambiqué, une famille recomposée déconfite. L’esprit presque en dilettante des premières heures s’évapore au fil des jours dans une atmosphère de plus en plus suffocante. Antoine les a-t-il violés ? Les semaines et les mois passent, longs et harassants, les certitudes grelottent au fond du sac en cuir. La soif de justice de sa sœur Virginie et de Mathieu témoigne de cette expérience de cour d’assises dont ils ne sortiront pas indemnes. Puis, au milieu des champs, soufflera un air de liberté aux odeurs de blé.

Maxime Roses, 40 ans, a grandi en France et se passionne de voyages en sac à dos, de chevaux et de randonnées pédestres. Maxime dévore depuis toujours l’écriture et le bonheur des choses simples.

Un jeune médecin de Samarcande, Ibn Idriss Khan, né en 1683, quitte sa ville natale turquoise pour suivre la caravane d’un drapier viennois, Tobias Winkler. Il rencontre une comtesse éclairée, Marjolaine Von Mayer, spécialiste d’Ulug Beg et veuve d’un officier, passionnée de sciences avec laquelle il développe un projet astronomique autour d’Isaac Newton et de Johannes Kepler. L’ambition du jeune médecin est grande, il souhaite aussi travailler l’historiographie du Croissant fertile, mais elle est freinée par le fils aîné de la comtesse, Jonas Von Mayer, qui devance ses plans.

Sylvie Bourgouin est née à Rouen le 26 décembre 1963. Poétesse jusqu’à la mort de son cousin peintre Jean-Paul Harivel, elle est l’autrice d’un corpus historique sur La présence des Normands à Mahdia de 1148 à 1160 et d’une thèse de doctorat sur l’œuvre de Marguerite Duras. Elle se consacre ensuite à l’écriture romanesque. Elle préside l’association Jean-Paul Harivel.

Cet ouvrage est en partie une double biographie, les faits essentiels et plusieurs détails sont rigoureusement exacts. Mais c’est aussi un roman dans la mesure où de nombreux points ont été rajoutés, qui j’espère demeurent dans le domaine du possible.
C’est l’histoire, entre 1860 et 1960 de mes deux grands pères, deux hommes issus d’un milieu modeste qui ont eu une vie ordinaire. Mais est-ce que cela existe une vie ordinaire ? Et puis être maître-nageur au début du XX° siècle, transporter en train les soldats vers Verdun, transporter en charrette de la glace vers Marseille est-ce si banal que cela ? P. Pascal

Agrégé de Géographie, Pierre Pascal a enseigné en prépas HEC. Aujourd’hui, à la retraite, il cultive sa passion pour la littérature et l’écriture.

Dans l’Algérie des années 90, une femme tente de résister au diktat des islamistes. Taous, originaire de Kabylie, et Mourad, un bel homme d’Alger, s’éprennent l’un de l’autre à la suite d’une rencontre fortuite. Elle voit en lui l’homme dont elle rêvait et quitte son village, Tiferdoud, pour le rejoindre à Alger.
C’est le début d’une belle histoire d’amour. L’homme est avenant, tendre, passionné. Mais assez vite, ce couple, hors du commun, attise les regards. C’est que, dans ce milieu où la ferveur religieuse est de mise, il n’y a pas de place pour une femme libre. Elle doit donc se conformer aux règles de vie islamiques. Commence alors pour elle un combat, parfois violent, contre tous, pour demeurer fidèle à ses racines et à cette terre kabyle qui l’a enfantée.
Devra-t-elle céder aux pressions pour continuer à vivre avec l’homme qu’elle aime ? Ou braver les interdits pour cette liberté qu’elle chérit tant, au péril de sa vie ?...

Né en 1953, à la veille de la guerre d’Algérie, Mustapha Berkani a grandi à Camp du Maréchal (actuel Tadmaït) dans la Basse Kabylie, en Algérie. Quatre ans après, il perd son père, tué dans les maquis kabyles. Exilée par l’armée française, sa famille pérégrine jusqu’à l’indépendance du pays. Il arrive, malgré tout, à suivre une scolarité presque normale. Cet épisode douloureux de sa vie est raconté dans l’ouvrage Une famille Kabyle dans la guerre d’Algérie paru en 2018. Avec Liberté en sursis, il signe sa seconde publication.

Bien avant notre ère, une terrible éruption volcanique a bouleversé le destin de deux peuples d’hommes, de femmes et d’enfants. Pour l’un des clans, chaque jour qui passe est une bataille pour la survie. Néanmoins, ce sont ces hommes, réfugiés sur la montagne de feu rendormie, que la Mère de la vie a choisi de privilégier, en leur donnant d’étranges pouvoirs liés aux esprits des éléments. Mais comment pourraient-ils prospérer sur la terre ingrate du volcan, tandis que leurs ennemis, beaucoup plus nombreux, ont pris leur place au bord de la rivière dans la vallée ?
Lorsqu’Ulis, un homme du volcan, rencontre Janéa du clan des Rags, il ignore que la relation interdite qu’ils vont poursuivre est une mission des esprits.
Et qui est Ambre, cette jeune fille au sang mêlé ? Quels seront son rôle et son avenir dans cet univers sauvage, où les paysages grandioses, la rudesse du climat, les animaux féroces, et surtout la cruauté du peuple qui l’a vue naître, la confronteront à des choix difficiles ?

Claire Minne-Beauvoir est née à Lyon en 1967. Mère de quatre enfants, horticultrice de métier, passionnée de jardinage et de botanique, son amour pour la nature lui a toujours été une source d’inspiration. De son attachement à l’Auvergne et au département de la Loire, avec leurs forêts, leurs légendes et de nombreux souvenirs de famille, est née sa passion pour l’écriture. Avec La montagne de feu elle signe son cinquième roman.

Une paralytique qui se met à marcher, une vieille Anglaise indigne, un papa déçu par son enfant, une infirmière perfectionniste, un montreur d’ours entêté, un mari assassin, un transgenre stupéfait, un bateau très convoité…
L’amour, le sexe, la vie, la mort, les chats, les miracles, la folie, le crime, rien ne l’arrête.
Pas un sujet que n’aborde Hélène Sajtinac en vingt-quatre nouvelles où le bizarre, la tendresse, la nostalgie, l’absurde, côtoient l’horreur, toujours teintée d’humour.
Noir, bien sûr.

Productrice de films, bilingue français-allemand, Hélène Sajtinac a publié de nombreux essais dans l’édition allemande de VOGUE. Née en Provence, elle sillonne l’Europe avant de s’installer à Paris.

Henry est un médium rongé par son pouvoir depuis l’enfance. Il fait la connaissance de Charlie, un fantôme de son âge qui va devenir son meilleur ami. Ensemble, ils vont faire les quatre cents coups et tenter de déjouer une malédiction qui empêche Charlie de consommer le fruit de son imagination.

Avec Henry et Charlie Jean-Patrice Noël signe sa première publication.

Les phares balaient une route étroite et vide de toutes habitations, seulement bordée de rares arbres au tronc blanchi. David roule lentement, certainement pensif aussi. Anne Laure ne dit rien. Elle fixe la route, et repense à la soirée si étonnante. Elle aurait bien proposé son aide dans la rénovation de la maison sur l’île, mais comment expliquer à David, qu’elle a besoin de se sentir utile, que cette vie d’oisiveté ne lui convient plus. Ou c’est peut-être simplement que son couple ne fonctionne plus...
Anne Laure, jeune trentenaire, quitte la France, pour rejoindre son mari David, dans un pays situé dans la corne de l’Afrique. Dans cette ville de Djibouti, où la chaleur moite est la compagne de chaque instant, elle parcourt les rues dans sa vieille 4L, fait de belles rencontres et de nouvelles amitiés se nouent. Les journées se suivent avec lenteur.
Puis un jour, tout bascule. Un crime est commis... Malgré elle, Anne Laure se retrouve mêlée à l’enquête. Confrontée à la drogue, la prostitution, elle cherche le ou les coupables, mais découvre une vérité toute différente.

Artiste peintre depuis de nombreuses années, Elsy Godin a exposé en France et à l’étranger. De ses séjours, elle a rapporté des émotions liées aux paysages, aux rencontres. Dans ses peintures, elle a créé des aventures immobiles. Maintenant, elle fait vivre à des héros ordinaires des situations particulières. Ses livres entraîneront les lecteurs à la découverte d’autres mœurs.

Ses parents l’avaient appelée Rosalia. Ils disaient que ce prénom allait lui porter chance, il venait de la rose après tout, cette fleur que l’on offre quand on aime quelqu’un, que ce soit un ami, de la famille ou un partenaire de vie. Un symbole de tendresse, de passion, et le plus important pour eux, de joie. Ils voulaient que leur fille soit heureuse chaque jour de son existence. Quand elle était petite, elle faisait honneur à ce prénom, elle était pleine de bonheur et d’amour, et elle avait des dizaines d’amis. Ses parents lui disaient sans cesse qu’en grandissant, ce serait encore mieux, et que l’année des 18 ans ferait partie des meilleures de sa vie. Qu’à cet âge-là, elle aurait sûrement son permis ; qu’elle pourrait choisir une université pour étudier ce qui lui plaît réellement, où elle aurait envie d’aller tous les jours sans faute ; qu’elle aurait sûrement des tonnes d’amis avec qui sortir. Aujourd’hui, Rosalia a 18 ans. Et s’il y a bien deux choses qu’elle sait, c’est que ses parents lui ont menti et qu’ils auraient mieux fait de l’appeler autrement.
Elle n’a aucune envie d’aller à l’université, et sans l’obligation de ses parents, elle n’irait vraiment plus. Et surtout, elle ne veut pas avoir d’amis, elle n’en veut plus. Alors pourquoi cet étrange garçon s’obstine-t-il à lui parler ? Pourquoi ne semble-t-il pas comprendre qu’elle ne veut pas de lui dans sa vie ?...

Sara Lefevre est née en 2001 dans le Doubs. Depuis le collège, la jeune femme a une grande passion : l’écriture. Elle a toujours rêvé de pouvoir en faire son métier. C’est aujourd’hui, après une licence de LLCER Anglais, que son rêve se concrétise, à travers la publication de son premier roman.