Cinq trentenaires voient basculer l’équilibre précaire de leur vie. Leurs chemins s’éloignent, se croisent et se heurtent. Les choix et les rencontres de chacun conduiront l’un d’eux à une mort annoncée.
De juin 2005 à mai 2006, de l’Île-de-France à La Guadeloupe, en passant par l’Aquitaine et l’Irlande, les personnages sont confrontés tour à tour à leurs désirs, leurs doutes, leurs peurs, leurs espoirs. Ils explorent leur vie intérieure ainsi que le monde qui les entoure, parfois sublime, parfois hostile, avant de sombrer…

Igor Kubiak est né en 1982. Enseignant voyageur, il a posé ses valises en Auvergne. Une peine à passer est son premier roman.

Ardennes, novembre 1918. La France s’apprête à livrer le dernier combat d’une guerre abominable et des hommes vont encore mourir.
Paris, avril 1937.
Vingt ans plus tard, alors que les derniers préparatifs de l’Exposition Universelle sont en cours, Adélie, jeune femme architecte orpheline de guerre, tente de se faire une place et de changer un monde d’hommes dominé par la peur, la haine et la soif de revanche.
Un monde qui ne se remet pas des traumatismes de la Grande Guerre et de ses conséquences humaines, sociales, économiques et politiques. Pourtant les démocraties et la France tentent de croire en la Paix universelle grâce à l’art et au progrès technique. C’est le thème de l’Exposition qui va s’ouvrir.
Adélie, aidée de ses parrains Pierre et Jean, va se battre pour empêcher la haine de s’étendre. Cette haine qui a déjà embrasé tant de pays et qui touche aussi la France et la lointaine Union sud-africaine. Le monde entier est au bord de la catastrophe.
A travers une course-poursuite haletante dans les rues de Paris et sur le site de l’Exposition, Adélie va tenter de déjouer un complot fasciste. Elle devra pour cela affronter son passé et ses convictions pour faire le choix de la vengeance ou de la Vie.

Né en 1965 à Grenoble, Frédéric Malet est cadre financier, industriel et international. Humaniste et sensible à l’Histoire, il a mis ses convictions aux services de plusieurs groupes industriels dans des postes de direction financière, direction des ressources humaines et direction d’entreprises. Il a décidé de raconter l’histoire de femmes et d’hommes confrontés aux turbulences de l’Histoire. La Terre d’Adélie est son premier roman.

Le roman est construit sur le principe des mécanismes subtils de l’inconscient. Blanche part à la recherche des traces d’un père dont elle n’a plus de nouvelles depuis l’enfance et qui est mort. C’est ainsi qu’elle va découvrir qu’elle a une sœur, Mauve, née d’une seconde union. Une histoire, ou plutôt des histoires se tissent et le lecteur est plongé dans une narration à plusieurs voix. Le roman est un jeu de piste avec des indices distillés au fur et à mesure du récit.
Une quête identitaire. Une chute. En cascade. Comme il se doit, pour une chute. L’image. Comme la mémoire. Pixélisée. Un tableau impressionniste. Une fin. Comme toutes les fins. Pas comme toutes les fins. Relire pour approfondir. En rester là pour ressentir. Fantasmer. Imaginer.

Dominique Dye a poursuivi des études scientifiques et s’est longtemps exprimée grâce à son goût pour la musique, la peinture, la sculpture et la poésie. Sa vie professionnelle est rythmée par la découverte de la psychologie dont elle a fait son métier depuis une trentaine d’années. Elle la pratique et l’enseigne en France et à l’étranger. Son besoin d’exprimer s’est associé au fil du temps au désir de transmettre. C’est à partir de ce carrefour que son écriture romanesque a vu le jour.